Pour réhabiliter certaines zones délabrées du Mas de Mingue, on attend de savoir si l'état considère que le Mas de Mingue fait partie de l'ANRU (programme national de la rénovation urbaine).
Laurent Burgoa, président la réunion où étaient conviés les acteurs de quartier: "Si l'état souhaite qu'on réfléchisse à ce sujet, j'y suis prêt en partenariat avec vous tous et les habitants."
Laurent Burgoa présente sa collaboratrice, qui sera l'interlocutrice directe: Mme Boissière
Un habitant du quartier fait remarquer la grande vétustée de certains logements.
Laurent Burgoa: "La rénovation sera plus complexe au niveau des copropriétés,
"Toutefois, le Mas de Teste a été un projet phare"
Au niveau associatif.
Laureent Burgoa:"Les financements sont en baisse partout. Il faudra étudier les priorités, et chercher s'il y a des doublons dans les actions, chercher comment améliorer certaines choses. Il faudra ensuite faire des conventions. Les centres sociaux, ici le centre Jean-Paulhan demeurent le coeur où doit s'initier cette synergie."
"l'agrément n'est pas une fin en soi, c'est une étape."
Le représentant de la CAF:"même si généralement les centres sont sous responsabilité associative, d'autres fonctionnements ne sont pas incompatibles, à partir du moment où les objectifs sont respectés, en tenant compte du contexte économique."
"Pour créer de la synergie, Laurent Burgoa demande de choisir les activités spécifiques qui rassemblent."
Des associations font remarquer la baisse importante des subventions qui limitent les actions et créent du chômage. La Pléïade se trouve particulièrement limitée au niveau des actions auprès des personnes âgées précarisées, qui demandent beaucoup de temps au niveau des divers accompagnements."
Laurent Burgoa fait remarquer qu'une association a fait appel au DLA et d'autres inspections pour bien ajuster les besoins et les objectifs prioritaires définis.
Le représentant du Carrefour Associatif approuve cette remarque et fait remarquer aussi que dans l'ensemble, les actions se synchronisent d'elles-mêmes, qu'il y a un gros travail de bénévolat à prendre en considération. Donc psychologiquement il est peut-être important de mettre en avant les réalités économiques dont il faut tenir compte, et que l'on est prêt à le faire, plutôt que de parler en terme de doublon au niveau du Mas de Mingue. Il n'y a aucun problème pour collaborer avec Mme la directrice, au contraire, mais le centre n'est pas encore une "vraie ruche" comme on peut l'observer dans d'autres centres."
Mme Boissière:"Si je fais un pas à droite, un pas à gauche, je compte sur vous pour me mettre sur le bon rail."
Représentante du collège, "déjà nous avons des partenariats, mais nous sommes prêts à les renforcer"
Pour l'environnement: certains font remarquer la présence d'un ouvrier qui fait un gros travail mais qui est tout seul.
Laurent Burgoa invite avec une certaine insistance à se rendre à la rencontre avec M le Maire pour la signature des conventions.