Complément non paru.
Après s’être attardé aux étals sur une centaine de mètres en pleine campagne, on se trouve plongé dans un environnement de fleurs, de verdure, dans des pots, des brouettes, accueillie par une grande marionnette des ateliers du presbytère et des constructions florales, sur un fond sonore de dialogues. Marie Thérèse Ausset fait goûter son kéfir aux multiples bienfaits: « Un plaisir de venir ici, c’est comme une flamme de bougie, quand on la donne on a rien perdu, on gagne en relations. » Christian Bastid, élu, reconnaît que: « Ce vide grenier est un bel exemple de manifestation populaire. » Mais il pose une question: « Pourquoi tant de femmes sont intéressées par le troc aux plantes et si peu d’hommes? » « S’ils ne sont pas assidus au ménage, ils sont présents pour les soutenir et obéissent, en faisant les petites mains » rétorque un homme en poussant une brouette.
Cor.0781331581