question:"devinez en quelle année."
"l'exposition reste en place tout le mois de juin aux heures d'ouverture du centre André Malraux de 8h30 à midi, 13h30 à 18h nous vous accueillons,
Si vous voulez nos commentaires, acheter un livre ou le recevoir gracieusement si vous avez participé, nous rencontrer lors de 3 permanences :
- vendredi 10 juin de 17 à 19h -
mardi 14 juin de 9h30 à 11h30 -
mercredi 22 juin de 16h30 à 18h30
en espérant que ces horaires vous permettront de venir ! Centre André Malraux 2 av de lattre de Tassigny.
Ce projet a bénéficié du soutien de la Ville de Nîmes et du Conseil départemental du Gard."
association le petit atelier de l'emporte-pièce
mob : 06 84 95 98 56
local : 225, av de bir hakeim - chemin bas d'avignon à nîmes
adresse postale : 7, rue andré siegfried - 30000 nîmes
permanence : mercredis 9h30-11h30 et 13h30-19h en période scolaire
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Les adultes se pressent devant les photos des élèves, il y a si longtemps.
Nîmes
Le journal intime du Chemin bas d'Avignon est arrivé au centre André Malraux.
Le journal intime du Chemin bas d’Avignon a vu le jour le mardi 31 mai, après un temps symbolique de 9 mois, sous la plume de Véronique Pinguet Michel , coordinatrice du petit atelier. Il s’organise autour d’une vaste récolte de paroles à la fois individuelles et significatives pour chaque époque, d’habitants, d’acteurs associatifs, d’élus.
Jennifer Conejero, nouvelle animatrice au petit atelier, artiste peintre, a pu observer l'intérêt des visiteurs pour les expositions au centre culturel : « ils se sont beaucoup attardés devant les écrits et les photos des élèves au cours des années. »
Ce défilé de personnes s’est achevé par une soirée que l’espace d’accueil avait de la difficulté à contenir.
On a pu regarder un film sur l’évolution du quartier, écouter les enfants lire des phrases, tirées du livre...l’ambiance était au plaisir des rencontres.
Véronique explique qu' « intime » convient à ce journal : « J’ai eu de nombreux témoignages, mais il m’a fallu créer un climat de confiance pour que des interlocuteurs s’expriment librement, parfois avec beaucoup d’émotion.»
A la lecture du livre on acquiert une vue très vaste de l’histoire, des conditions économiques difficiles, des évolutions au niveau de l’architecture et de l’environnement.
pendant que les enfants sont fascinés par l'instrument de musique.
Jennifer Conejero est aussi artiste peintre.
En 1962 le quartier, terrain vague, avec pour habitation principale un monastère, explique Gaston Delenne, longtemps prêtre au Chemin bas : « Parti et revenu plusieurs années après, j’ai observé, malgré des incivilités qui donnent une mauvaise image, un fort dynamisme à travers les associations, les clubs de sport, les éducateurs de rue, le centre culturel, qui perdure actuellement, enrichi par une grande variété d’origines et de cultures. »
cor. 0781331581